La notion de sobriété a indiscutablement fait son entrée dans le débat
public. Elle porte aujourd’hui une forte ambition : d’être sur le champ
sémantique de la raison, de l’équilibre, de la stabilité et de la
croissance.
Cette nouvelle vision permet d’opérer une mutation positive
de ses attributs passés (austérité, abstinence, décroissance)
permettant ainsi une transformation de nos sociétés pour répondre aux
enjeux de développement durable, d’impact social et sociétal.
Dès 2018, les membres fondateurs de l’association ont posé le néologisme : sobériser. Cette nouvelle terminologie désigne une voie, une vision, une ambition : celle de transformer nos économies et nos sociétés vers des fonctionnements plus sobres, et par là plus durables, tout en faisant de l’innovation une alliée.
Nous avons cherché des illustrations concrètes, en France et dans d’autres aires culturelles ou économiques. Cherché des preuves montrant que loin de s’opposer, innovation et sobriété s’allient. Nous en avons trouvé, dans l’industrie, l’agriculture ou le bâtiment en passant par la mobilité ou la santé, souvent appuyées sur la transition énergétique. Nous avons rencontré ces entreprises qui s’engagent dans l’économie circulaire, l’innovation frugale ou l’élargissement de leur gouvernance à des parties prenantes externes. Elles le font parce que ces choix durables sont des choix rationnels. Nous avons aussi identifié des formes économiques « nativement » sobres : l’économie du partage ou de la fonctionnalité, l’économie sociale et solidaire, certaines solutions basées sur des plateformes numériques qui se démultiplient avec une sobriété vertueuse.
Les trajectoires pour sobériser l’économie conventionnelle existent donc. Elles sont réalistes, et ne renient ni la compétitivité, ni l’innovation. La sobérisation, libérée de connotations idéologiques trop clivantes, doit s’inscrire au cœur de la raison d’être de chacune de nos organisations humaines.
La sobérisation vous parle ? Consultez nos ressources, et rejoignez-nous pour contribuer, par de nouvelles illustrations, à inspirer les acteurs économiques sur la voie de la sobriété !
Nous avons cherché des illustrations concrètes, en France et dans d’autres aires culturelles ou économiques. Cherché des preuves montrant que loin de s’opposer, innovation et sobriété s’allient. Nous en avons trouvé, dans l’industrie, l’agriculture ou le bâtiment en passant par la mobilité ou la santé, souvent appuyées sur la transition énergétique. Nous avons rencontré ces entreprises qui s’engagent dans l’économie circulaire, l’innovation frugale ou l’élargissement de leur gouvernance à des parties prenantes externes. Elles le font parce que ces choix durables sont des choix rationnels. Nous avons aussi identifié des formes économiques « nativement » sobres : l’économie du partage ou de la fonctionnalité, l’économie sociale et solidaire, certaines solutions basées sur des plateformes numériques qui se démultiplient avec une sobriété vertueuse.
Les trajectoires pour sobériser l’économie conventionnelle existent donc. Elles sont réalistes, et ne renient ni la compétitivité, ni l’innovation. La sobérisation, libérée de connotations idéologiques trop clivantes, doit s’inscrire au cœur de la raison d’être de chacune de nos organisations humaines.
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